Humilié à Albuquerque

Catégories : Aux pieds des femmes Facesitting lèche
il y a 6 ans

Il y a quelques années, un nouveau travail m’obligea à me rendre dans le sud-ouest des Etats-Unis pour deux mois, au centre de formation qui était installé là-bas. J’y fis la connaissance d’une jeune fille qui venait de finir ses études et qui suivait le même cycle que le mien. Elle venait d’avoir vingt-et-un an, j’en avais tout juste dix de plus.

Kay était une fille très directe qui aimait s’amuser. Notre programme de formation était très soutenu, ce qui eut pour effet de resserrer les liens au sein du groupe afin de pouvoir faire face à la pression. Ce travail représentait pour moi une orientation nouvelle de ma carrière et j’y consacrai de gros efforts. Cela me valut d’excellents résultats et j’en profitai pour venir en aide à Kay et me rapprocher ainsi d’elle. Je profitais de chaque occasion pour être auprès d’elle, d’autant que, par chance, elle résidait dans le même bâtiment que le mien.

J’étais extrêmement attiré par elle, mais j’étais déjà fiancé. Elle, pour sa part, flirtait avec moi de manière plus innocente. Nous passions l’essentiel de nos journées ensemble. Parvenus à la moitié du stage, nous dûmes nous rendre en Californie, qui était notre lieu d’affectation finale. Nous étions devenus de très bons amis, mais comme j’étais fiancé, la relation demeurait platonique. Vers la fin du stage, un nouveau déplacement de groupe en Californie fut programmé.

Le matin de notre départ était un jour de très forte chaleur, typique du Sud Ouest. Kay avait loué une grosse camionnette, et je devais la relayer pour conduire. Je me rendis chez elle pour l’aider à préparer ses affaires. Elle était habillée d’un short, d’un tee-shirt et de ces petites chaussures en cuir ou en toile que toutes les filles portent. Kay portait également des petites socquettes que je trouvais très séduisantes. Nous fîmes les bagages au prix de gros efforts et j’en profitai pour voler des images de son corps mince qu’elle bougeait si gracieusement pendant l’opération. Je trouvais ce corps jeune et nubile si irrésistible, et pourtant, j’avais l’impression qu’elle ne voulait pas briser mon mariage prochain.

A trois heures, nous rejoignîmes les deux autres voitures et partîmes en convoi vers l’ouest. Notre intention était de rallier directement Las Vegas et d’y passer le jour suivant. Une heure après notre départ, l’une des voitures tomba en panne et dû s’arrêter sur le bas-côté. J’étais au volant et je vis la scène dans le rétroviseur. Comme nous étions en tête de convoi, je continuai à rouler. Kay n’avait rien remarqué et je tenais à profiter de cette occasion pour me débarrasser des autres. Un peu plus tard, je lui fis remarquer la disparition de nos compagnons, mais elle ne parut pas s’en inquiéter. Nous continuâmes donc notre route.

J’avais déjà une vue excellente sur ses jambes fantastiques, tout en conduisant. Puis elle s’enfonça plus profondément dans son siège et étendit ses jambes, posant ses pieds sur le tableau de bord et m’offrant du coup un spectacle encore meilleur. Mon sexe se durcit tandis que je continuais à conduire, frustré. Ses belles jambes étaient si joliment musclées… et ses petites chaussures et ses socquettes m’alléchaient au point de me faire perdre toute concentration.

Je suggérai que je n’étais pas très emballé à l’idée d’aller à Vegas. Kay était de mon avis. Il commençait à se faire tard, nous approchions d’Albuquerque. Nous décidâmes d’y passer la nuit. Je pris une chambre à deux lits, pour faire des économies sur le prix des chambres individuelles, et nous nous installâmes avec son chat. Je partis me doucher pour me défaire de toute cette transpiration accumulée du fait de la chaleur et du voyage. Kay s’allongea sur son lit pour regarder la télé. Je sortis de la douche vêtu d’un short et vins également m’allonger sur mon lit pour regarder la télé.

Kay était allongée sur les couvertures et étiraient ses jambes de temps à autre comme pour chasser la fatigue du voyage. Il était temps de se coucher, si nous voulions repartir tôt le lendemain. Kay se leva et retira lentement son short, dévoilant sa petite culotte. Elle portait une petite culotte rose avec des petits froufrous de dentelle blanche. Inutile de dire que j’eus un mal de chien à détacher mes yeux de ce spectacle magnifique.

Elle se pencha vers l’avant, gardant les jambes tendues, et se mit à délacer ses petites chaussures. Sa position m’offrait une vue incroyable de son alléchant petit derrière dans sa petite culotte de coton toute tendue. Kay se rassit sur son lit et secoua les pieds pour se défaire de ses chaussures. Elle tendit alors sa jambe en l’air pour retirer ses socquettes collantes de transpiration, exposant à mes yeux des pieds parfaits aux ongles vernis d’un rose sexy.

Kay s’allongea ensuite sur son lit, une jambe pendante, le pied suspendu à une dizaine de centimètres du sol.

« Embrasse mon pied » dit elle soudainement, complètement à l’improviste.

Je la regardai. Elle avait aux lèvres un sourire de petite fille. Elle se mit à rire, commença à balancer son pied en pointant ses orteils

« Dernière chance. Embrasse mon pied »

Je me levai de mon lit et Kay tendit sa jambe, mettant son joli pied juste sous mes yeux. Je tendis les mains pour le saisir mais elle le retira, le laissant de nouveau pendre à quelques centimètres du sol. Je restai ainsi stupidement, avec mon short qui prenait rapidement la forme d’une tente à mesure que mon sexe s’érigeait. Je me mis à rougir, embarrassé, tandis que Kay riait de mon humiliation.

« Supplie-moi » « Supplie-moi de te laisser embrasser mon pied »

Il fallait que je le fasse. J’avais trop besoin d’embrasser ce pied magnifique. Mon corps entier se consumait de ce désir unique.

« Kay, s’il te plaît… puis-je… »

J’avais commencé à supplier, mais Kay avait tendu sa jambe, posé son pied sur le bout de mon pénis dur comme de la pierre, et elle appuyait. Je me mis à gémir de plaisir, tandis qu’elle m’ordonnait : « A genoux » Je m’effondrai à genoux devant elle. Je devais avoir l’air si misérable. Je levai les yeux vers elle et elle dut lire que je la suppliais du regard. Elle comprit que je ferais n’importe quoi pour pouvoir embrasser ses pieds odorants.

« S’il te plaît Kay, je t’en supplie. Laisse-moi t’embrasser les pieds. Je ferai tout ce que tu voudras si tu me laisses les embrasser… »

« Tu n’es qu’un porc sans valeur » commenta-t-elle « Dis-moi que tu préférerais embrasser mes pieds et manger la crasse qui se trouve entre mes orteils plutôt que d’embrasser la joue de ta fiancée »

Abandonnant toute fierté, je répondis « Kay, ton pied est magnifique. Il est bien plus beau que ma fiancée. Il est tout ce que mon coeur désire. J’abandonnerais Carla dans l’instant pour une chance de te baiser les pieds et de manger la crasse qui se trouve entre tes orteils. Je t’en supplie, s’il te plaît, laisse moi t’embrasser le pied »

Kay était totalement surexcitée.

« Mendie comme un chien »

Je repliai mes bras sur ma poitrine, ramenant mes mains sous mon menton, haletant comme un chien qui espère recevoir un bel os. Kay me dépouillait de la plus petite once de fierté qui pouvait me rester.

« Embrasse-le, chien »

Je me prosternai sur son pied. Son odeur m’atteint avant même que mes lèvres ne le touchent. La senteur la plus douce que j’aie connue. J’étais perdu dans un état de jouissance euphorique. Je me mis à embrasser son pied avec toute la passion que je pouvais concentrer. L’odeur âcre de son pied me faisait saliver comme si l’on avait placé un plat succulent devant moi. Je me mis à lécher son pied, bavant presque dessus, savourant chaque seconde. Kay fit glisser son pied en allongeant sa jambe et je poursuivis en embrassant sa cheville, son mollet, remontant le long de sa jambe. Je la vénérais avec plus de passion et de sincérité que les esclaves de l’Egypte ancienne en mirent à vénérer Cléopâtre.

Je remontai lentement le long de sa jambe. Kay m’arrêta et retira sa petite culotte. Elle la plaça sur ma tête pour que je la porte comme un chapeau, continuant à rire et à m’humilier. Kay me prit par les oreilles et me plaqua sans douceur contre son sexe. Avec beaucoup de délicatesse et de respect, je me mis à adorer son sanctuaire. Je fis de mon mieux pour l’amener au plaisir et l’y maintenir.

Je l’agaçai jusqu’au bord de l’orgasme avant de me rétracter légèrement. Elle était en proie à une tension presque délirante, sous l’emprise de l’orgasme tout proche. Finalement, incapable de supporter plus longtemps mes provocations, elle me repoussa sur le dos et s’assit carrément sur mon visage. Elle se mit à me chevaucher comme une folle. Je découvris son point le plus sensible et me mis à le titiller autant que je pouvais. Elle atteignit l’extase en hurlant, dans un magnifique orgasme, frissonnant de façon incontrôlée. Tandis qu’elle restait en proie à ses spasmes, je sentis le ruissellement d’un liquide sur mon visage. Kay se mit à rire et resserra fermement ses cuisses de part et d’autre de mon visage pour l’emprisonner.

« Bois » dit-elle en riant. Elle s’avança légèrement pour placer son pubis au-dessus de ma bouche grand ouverte.

Incapable de bouger, sans défense devant elle, je me résignai à l’acte dégradant de devenir ses toilettes. Lorsqu’elle eut fini, Kay se dégagea, glissa sous les couvertures et me f o r ç a à me tasser au fond de son lit en me poussant avec ses jolis pieds. Elle souleva ses couvertures pour jeter un regard à la ridicule créature roulée en boule à ses pieds. Je portais toujours sa culotte sur la tête et mon visage était luisant de son urine.

« Fais un bisou et dis bonne nuit » dit-elle en pressant un joli pied sur mes lèvres. Je fermai les yeux et embrassai son pied avec plus de passion que les lèvres d’aucune femme n’en ont jamais connue. Enroulé autour des pieds de Kay, je ne pouvais plus imaginer d’autre endroit où j’aurais préféré être.

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